25 leçons que j’ai apprises après un an d’entreprenariat
Cet article est référencé dans : Développe ton business, Être un entrepreneur en ligne, Online Business Management
Sommaire
- # le succès
- # la connaissance
- # le faux problème de l’échec
- # laisse ta carte à la maison
- # « change the game »
- # la propagation
- # si c’est facile
- # les petites victoires
- # le mythe de la lecture
- # suivre ta passion
- # l’inconfort
- # le « c’est de la merde »
- # ton capital de décision
- # ce que les gens disent
- # la super idée
- # les petites choses changent le monde
- # le piège de l’optimisation
- # et après ?
- # l’énergie
- # l’attention
- # t’aider toi-même
- # l’information tue l’innovation
- # ne t’arrête pas lorsque ça devient difficile
- # les attentes
- Un an d’entreprenariat en image.
- Ce post est extrait du Dailypreneur avec Chloë
Préssé(e) ? Tu auras besoin de 10 min pour lire ce contenu.
J’ai appris beaucoup de choses au cours de cette dernière année. Peut-être tellement de choses que j’en ai oublié une ou deux. J’ai expérimenté et testé des centaines de nouvelles choses.
Alors certaines d’entre elles n’ont pas fonctionné et pourraient être affichées sur mon mur de la honte personnel.
D’autres ont été des réussites.
Peu importe, je suis riche de toutes ces expériences,
Alors si mon retour d’expérience peut t’apporter un peu de valeur, je partage tout avec toi.
# le succès
Tout ce que tu dis, fais ou écris ne doit pas obligatoirement être fantastique.
C’est cool si 2 à 5% des choses que tu fais sont fantastiques.
Ce sont les choses pour lesquelles on se souviendra de toi.
Les autres choses, les autres 95%, elles seront tout de suite oubliées.
# la connaissance
La plupart des choses que tu lis sont inutiles.
Ce que tu lis maintenant est probablement inutile.
C’est juste de l’information.
Et pas de la connaissance.
Cette information se transformera en connaissance à l’instant ou tu l’appliqueras ou que tu l’expérimenteras dans la vie réelle.
Avant que tu le fasse, ça restera simplement de l’information.
# le faux problème de l’échec
Nous n’avons pas peur de l’échec.
Nous avons peur du succès.
Parce que nous ne savons pas ce qui va se passer si nous réussissons.
Serons-nous toujours les mêmes ?
Nos amis changeront-ils ?
C’est totalement imprévisible.
Alors, inconsciemment on se sabote.
Parce que nous avons peur du changement,
Et que l’échec, lui est tristement très prévisible dans nos têtes.
# laisse ta carte à la maison
Parfois, il est bon de se perdre,
De laisser ton GPS ou ta carte chez toi.
Parce que si tu as toujours une carte avec toi,
Ou si tu demandes sans cesse ta direction à tout le monde,
Tu vas rater les joyaux cachés et les chemins détournés,
Tu vas partir dans 100 directions différentes, sans savoir laquelle s’applique le mieux à ta personnalité, à ton projet.
Je te parlais de ça et particulièrement d’écouter ta propre boussole ici.
# « change the game »
C’est un truc que je vois tout le temps chez les gens trop inspirés par les marketeurs américains.
I want to change the game, disent-ils.
Le truc, c’est que pour changer le jeu, tu dois d’abord apprendre ses règles sous-jacentes.
Mais si ne tu sais pas comment on joue à ce jeu, comment peux-tu être capable de le changer?
# la propagation
Les idées ne se propagent pas toutes seules.
C’est à toi de les répandre.
Mon travail ne se propage pas comme ça.
Ton travail ne se propagera pas en devenant soudainement viral, juste comme ça.
Tu dois travailler dur.
Et être régulier et cohérent.
TOUS les jours.
# si c’est facile
Si c’est facile, alors la plupart des gens l’auront déjà essayé.
Et si beaucoup de gens ont déjà essayé quelque chose, elle ne fonctionne probablement plus.
Tu peux essayer de faire ce que tout le monde a déjà fait.
Des choses qui ont beaucoup fonctionné.
Ou tu peux essayer de faire quelque chose de différent.
D’unique.
Ton propre truc.
# les petites victoires
Quoi que tu fasses, tu dois éliminer les obstacles avant de commencer.
Démarrer un blog est difficile.
Alors publie du contenu sur Facebook ou Medium à la place.
Écrire un livre est difficile.
Alors écris des articles tous les jours à la place.
Et une fois que tu es dans un certain élan,
Et que tu as réalisé quelques premières petites victoires,
Alors seulement là,
Passe à l’étape suivante.
# le mythe de la lecture
Tout le monde te dis que tu as besoin de lire tous les jours pour devenir un meilleur écrivain.
(Parce que quand tu deviens un meilleur écrivain : tu vends plus, tu sais convaincre, persuader, raconter des histoires, divertir…)
Depuis presque deux mois, je suis passé de un livre par semaine à un livre par mois.
Au lieu de ça, j’ai commencé à écrire tous les jours.
Et tu sais quoi ?
Mon écriture s’est nettement améliorée.
Tu ne deviens pas un meilleur écrivain et copywriter en lisant tous les jours.
Tu deviens un meilleur écrivain en écrivant tous les jours.
# suivre ta passion
Suivre sa passion est CHER.
J’ai dépensé plus de 10 000 euros dans mes deux passions ces dernières années (dixit la musique et le voyage).
Et je n’ai pas reçu un seul euros en retour.
Voilà ce que ça coûte réellement de suivre sa passion.
Je sais pas.
Personne ne le dit.
Tout le monde dit qu’on doit transformer sa passion en business.
Je crois que c’est une énorme connerie.
Pourquoi ?
Je sais pas trop en fait.
Mais si tu ne gagnes pas un seul € avec ton business, c’est que ce business n’est autre qu’une passion très onéreuse.
# l’inconfort
Si tu es toujours à l’aise dans la vie, tu ne changeras jamais rien.
Si tu restes sans cesse dans ta zone de confort, tu ne changeras jamais rien.
Parce que tu n’as pas à le faire.
Le truc, c’est que :
Être à l’aise est l’ennemi de la créativité et de l’innovation.
C’est seulement quand tu te sens pas bien, quand rien ne va, que tu auras envie de changer les choses,
Pour qu’elles deviennent meilleures.
# le « c’est de la merde »
C’est de la merde.
- Mes premiers 20 articles sont nuls.
- Mes 20 premiers vlogs sont nuls.
- Mes 20 premières vidéos en live sont nulles.
- Mes 20 premiers épisodes du podcast sont plus que nuls.
Oui,
Chaque fois que tu démarreras quelque chose, tu seras nul,
Ce sera probablement de la merde.
La seule différence entre quelqu’un qui est bon à quelque chose et quelqu’un qui ne l’est pas, c’est que celui qui est bon n’a pas abandonné à un moment donné.
# ton capital de décision
Ou la fatigue décisionnelle.
Je t’en ai souvent parlé cette année.
Nous ne pouvons prendre qu’un nombre limité de décisions chaque jour.
Quelle que soit l’importance de cette décision dans ta journée, elle entame ton capital de décision.
Alors la décision de porter telle ou telle chemise ou telle ou telle robe te coûtera autant que décider de comment tu vas investir les revenus de ton dernier produit.
# ce que les gens disent
Chaque fois que j’ai prêté attention à ce que les gens disaient cette année, j’ai fini par faire n’importe quoi ou tout rater.
J’ai donc décider de CESSER de me concentrer sur ce que les gens disent.
Au lieu de cela, j’ai commencé à me concentrer sur ce que je voulais faire.
Moi.
Moi seule.
Coûte que coûte.
# la super idée
Cette super grande idée géniale ne viendra jamais.
(C’est un peu comme la vague)
Et encore, si elle arrive, tu n’es même pas sûr d’être prêt à bien la recevoir.
Alors au lieu d’attendre l’idée,
Le produit,
Le service parfait…
… Travaille tous les jours sur de petites idées,
Pour t’assurer d’être prêt à bien gérer lorsque tu auras cette super idée.
En fait, j’ai compris que cette leçon s’applique à beaucoup de choses.
- Profite des petites choses que tu as dans la vie,
- Concentre-toi sur les petites étapes,
- Fais tous les jours de petites actions,
- Etc.
# les petites choses changent le monde
Les grandes choses ne changent jamais le monde.
Parce que les grandes choses ne fonctionnent jamais, vraiment…
Ce qui change vraiment le monde, ce sont les petites choses.
Comme sourire à la caissière de ta supérette pour lui montrer que tu apprécies son travail et sa politesse.
Que tu l’apprécies en tant que personne.
Je crois que c’est souvent ce genre de choses qui changent le monde.
Mon monde en tout cas.
# le piège de l’optimisation
Nous sommes tellement concentrés sur l’optimisation de nos vies, de nos routines, de nos tâches, de notre business…
… Que nous sommes pris au piège de la perfection, du travail parfait.
Et à toujours essayer de faire le truc parfait,
On finit par se faire écraser par la pression du perfectionnisme.
C’est ce qui brisera la plupart d’entre nous.
Tôt ou tard.
# et après ?
Quelle est la dernière fois que tu t’es posé cette question : okay, et après ?
Si tu ne te demande pas régulièrement quel est ton prochain mouvement,
Tu ne seras jamais capable d’avancer à la prochaine étape.
# l’énergie
Nous faisons trop de choses qui nous prennent de d’énergie chaque jour.
Au lieu de faire ça, fais des choses qui te DONNENT de l’énergie.
# l’attention
Sur le web, l’attention est la monnaie forte du 21ème siècle.
Il y a tous les jours PLUS de contenus, PLUS d’entrepreneurs, PLUS de tout,
Ce qui va rendre les bons contenus encore plus dur à trouver dans la masse…
Et ce qui va encourager de plus en plus d’entrepreneurs à gagner leur vie avec de petites audiences.
La guerre de l’attention est en route.
# t’aider toi-même
Tu es le seul capable de t’aider,
Capable de savoir ce qui fonctionne pour toi,
Pas les livres,
Pas tous ces gourous qui t’inspirent,
Seulement toi.
# l’information tue l’innovation
Plus tu consommes d’information et moins tu es créatif.
Et moins tu écoutes ce qu’il se passe au fond de ta tête.
Parce que l’information mène toujours vers un monde prédéfini.
Vers la pensée commune.
Vers la façon commune de penser le business.
Vers la façon commune de faire du business.
L’information tue la créativité et favorise l’uniformité.
# ne t’arrête pas lorsque ça devient difficile
La plupart des gens s’arrêtent quand ça devient difficile,
Alors que quand tu as l’impression que quelque chose est difficile, c’est que cette chose représente en fait BEAUCOUP pour toi.
Et tu ne devrais jamais arrêter de faire quelque chose qui signifie autant pour toi.
# les attentes
Les attentes, ça me déprime.
Ce qui me déprime c’est pas vraiment que quelque chose ne fonctionne pas.
- Que je ne fasse pas les chiffres que j’attendais,
- Que je ne vende pas autant que j’attendais,
- Etc.
Ce qui me déprime c’est que la représentation que j’avais fais de telle ou telle chose s’avère totalement erronée.
Donc, la meilleure chose est de faire des choses mais de ne jamais rien attendre en retour.
Je travaille toujours là-dessus.
Et pour un moment je pense.
Un an d’entreprenariat en image.
Je pense que ça ressemblait plus ou moins à ça.
Cet article est extrait de mon guide « 60 conseils sur les 6 grandes thématiques de l’entreprenariat » (ceux que je donnerais à ma grand mère si elle décidait d’entreprendre)
Ce post est extrait du Dailypreneur avec Chloë
Merci de le partager si il t’a plu. C’est le meilleur moyen de m’aider à toucher de nouveaux entrepreneurs qui partagent les mêmes valeurs que nous.
Et ton rôle en tant que confrère/consœur « entrepreneur qui prend action » est d’une importance capitale pour contribuer à répandre cette philosophie de vie.
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