J’ai quittĂ© mon job de social media manager pour des grandes marques il y a 5 mois. Je n’Ă©tais pas sĂ»re de ce que je faisais et d’oĂč cela allait me mener. Vraiment pas sĂ»re…
En ce moment, j’aide des gens Ă bien entreprendre et j’explique aux entrepreneurs que pour rĂ©ussir, il ne suffit pas d’utiliser les meilleures stratĂ©gies mais de dĂ©velopper un Ă©tat d’esprit et des habitudes de winners.
Je me considĂšre comme une entrepreneure. Au fĂ©minin. Peut-ĂȘtre pas comme une entrepreneure qui rĂ©volutionne la technologie. Peut-ĂȘtre plus comme une entrepreneure de la vie… ou des modes de vie. Je sais pas. Cela importe t-il vraiment en fin de compte ? Je ne le crois pas.
Alors, que vais-je faire l’annĂ©e prochaine ? OĂč vivrais-je en 2019 ?
Je n’en ai absolument aucune idĂ©e.
Peut-ĂȘtre en Asie ? Ou en Afrique ?
Peut-ĂȘtre que je serai femme de mĂ©nage ou que je vivrai dans la rue. Ou peut-ĂȘtre que j’aurais fondĂ© une famille et que je serai mariĂ©e. Je ne sais pas. Et, je m’en fiche.
De toute façon, qui est capable de rĂ©pondre Ă ces questions stupides ?Â
Si quelqu’un m’avait dis il y a 2 ans que je vivrai de ma passion (FIY : le dĂ©veloppement personnel orientĂ© business) et que j’Ă©crirai des contenus lus par des centaines d’entrepreneurs, j’aurais dit Ă cette personne qu’elle Ă©tait complĂštement folle.
Si quelqu’un m’avait dit il y a 10 ans que je fonderai une entreprise une fois mon diplĂŽme en poche au lieu d’accepter un des postes clinquants Ă responsabilitĂ© que l’on me proposerait, j’aurais probablement dis la mĂȘme chose.
Il en va de mĂȘme pour les dizaines d’entrepreneurs français et europĂ©ens qui m’ont fais confiance dĂšs le dĂ©but et que j’ai dĂ©jĂ aidĂ©.Â
Et si j’avais du prĂ©voir mon avenir il y a quelques annĂ©es, ces choses lĂ ne m’auraient mĂȘme pas effleurĂ©es l’esprit. Si tu me demandes aujourd’hui oĂč je me vois dans les 5 prochaines annĂ©es et quel est mon plan, je te rĂ©pondrai que je vais seulement essayer de saisir toutes les opportunitĂ©s que je rencontre si tant est qu’elles m’intĂ©resse et que je vais tout faire pour rĂ©aliser le plus de challenges possible.
Je n’aime pas les plans de carriĂšre. Ni les plans d’avenir. J’ai donc cessĂ© d’avoir des plans spĂ©cifiques il y a longtemps. Je suis dans l’action.
Avoir des plans m’empĂȘchent de vivre l’instant prĂ©sent et d’essayer de nouvelles choses.
Il y a maintenant 5 mois que j’ai quittĂ© mon job de social media manager et que je fais ce que je fais. Et j’ai appris beaucoup de choses sur le fait d’ĂȘtre un entrepreneur. Plus j’Ă©change avec toi et plus j’ai le sentiment que ces leçons ou ces rĂšgles peuvent t’ĂȘtre utiles, Ă toi qui me suit et me lit chaque semaine.
Je vais essayer de m’intĂ©resser Ă des choses que tu ne lis pas habituellement sur les grands blogs de marketing ou d’entreprenariat. Ces blogs qui se ressemblent tous et donnent toujours les mĂȘmes conseils.
Cet article rassemble en substance TOUTES les choses ce que j’ai du apprendre seule et qui sont en quelque sorte hors du champs. Ce sont des trucs qui me fascine parce que si tu dĂ©cides maintenant, tout de suite, de prendre action, tout sera possible et tu auras des rĂ©sultats dingues.
Les rĂšgles qui suivent doivent TOUTES ĂȘtre respectĂ©es. Tu n’es pas au supermarchĂ©, libre de choisir ta marque chips prĂ©fĂ©rĂ©e.
Tu sais que je nâĂ©cris pas pour te faire plaisir. JâĂ©cris pour te rendre incroyablement efficace dans ton business et dans ta vie.
Si tu es un flan en ventes ne crĂ©e pas de start-up et ne dĂ©marre pas de business 1 1. Ou apprends D'ABORD Ă vendre. × Â
Aujourd’hui, l’enjeu n’est plus de dĂ©velopper des produits. Tout le monde ou presque peut le faire. Tu peux externaliser ton business trĂšs simplement et Ă bas coĂ»t (j’ai rĂ©digĂ©Â un dossier sur la dĂ©lĂ©gation et les assistant virtuels), tu peux dĂ©velopper un site WordPress en une journĂ©e, tu peux facilement commander des produits physiques et bon marchĂ© en provenance de Chine et tu peux crĂ©er une formation en 2 jours (et je suis sympa).
Le vrai enjeu aujourd’hui est de trouver un besoin rĂ©el du marchĂ© et d’avoir les compĂ©tences nĂ©cessaires pour les vendre. En gros, tu dois identifier un marchĂ©, une thĂ©matique, une cible, une niche et apporter une valeur unique et sincĂšre (beaucoup de valeur).
Si tu n’as aucune compĂ©tence en vente, tu vas devoir l’apprendre avant de te lancer. Pas pendant, ni aprĂšs.
Soit : (les rĂšgles qui suivent doivent TOUTES ĂȘtre respectĂ©es). Tu n’es pas au supermarchĂ© libre de choisir ta marque chips prĂ©fĂ©rĂ©e.
Parle beaucoup Ă peu de gens plutĂŽt que parler peu Ă beaucoup de personnes
Je peux te le dire avec une franchise comme on en trouve peu dans ce bas-monde. Le problĂšme majeur de beaucoup d’entrepreneurs est qu’ils veulent plaire Ă tout le monde. C’est dĂ©jĂ impossible dans la vie de tous les jours alors dans un business. đ€
Un prospect va acheter tes produits car il rĂ©sout un de ses problĂšmes particuliers. Je ne prĂ©tends pas que ce soit la vĂ©ritĂ©. Mais câest ce que je crois aprĂšs plusieurs annĂ©es dans le web, des centaines dâarticles Ă©crits et une petite expĂ©rience dans l’entreprenariat.Â
Plus le problĂšme que tu rĂ©sous est large, moins il concerne prĂ©cisĂ©ment quelqu’un. Aussi, la probabilitĂ© quâune personne clique sur le bouton « Acheter » de ton produit est faible. Plus le problĂšme que tu rĂ©sous est pointu, plus il concerne prĂ©cisĂ©ment un prospect. La probabilitĂ© quâune personne achĂšte ton produit est ainsi forte.